Gossip'Girl

Pour la 38ème Edition du ...

J'ai changé le thème "B.D" pour un ...

Depuis toute petite j’ai toujours aimé le dessin, mais ce n’est que depuis 2018 que j’ai commencé à peindre parce que je voulais partager une activité avec ma fille Clara et très vite c’est devenue une passion. La peinture est pour moi une occupation à temps partiel puisque en parallèle je travaille dans l’entreprise de mon mari qui est céréalier, je suis également infirmière retraitée de la fonction publique et maman de 3 enfants. J’aime peindre des sujets qui vont dégager une certaine émotion ou qui vont parfois faire passer un message comme mes peintures de femmes. Je peins aussi des paysages. J’utilise du mix-média sur différents supports. Dans mon atelier je cherche constamment à m’améliorer à tester de nouvelles peintures, textures, …. Je suis également des tutos sur youtube et des formations en ligne et depuis peu j’ai eu envie de partager ma passion.

" L'effrontée 

" Le baiser "

" Désinvolte "

" La tendresse "

" Toi & moi "

" Free "

" Sensualité "

" Insouciante "

" Pensive "

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GWELE KLOZ (Lit Clos)

En bretagne, essentiellement, le lit clos était un meuble qui cumulait les fonctions de lit, d'armoire, de coffre et de banc, c'était le mobilier principal de la demeure ou de la ferme, mais, on retrouve aussi le lit clos dans les terroirs paysans d'autres régions françaises (massif central notamment).   Les paysans bretons dans leurs fermes  n'avaient le plus souvent qu'une seule grande pièce où étaient disposés  les lits clos en enfilade contre les murs latéraux ou contre celui du fond à l'opposé de la cheminée.

 Les lits clos ont été conçus pour se protéger des loups... Autrefois dans les villages et les fermes, on dit que ces bêtes pénétraient dans les maisons,  s’emparaient des nourrissons endormis dans leur berceau auprès du feu et les emportaient. C'est pourquoi les paysans et les fermiers,  pour la sauvegarde de leurs petits enfants,  les enfermaient dans les lits clos et  barraient la porte avant d'aller aux champs. C'est aussi une protection contre les porcs qui fourrent partout leur groin indistinctement, et les poules rapaces qui entrent et sortent sans arrêt des chaumières et ne regardent pas à deux fois ce qu'elles déchirent  ou crèvent: un cil, une oreille, un petit pied, une petite main." Typique des fabrications bretonnes depuis le Moyen Âge, ce lit clos est conçu comme une armoire à deux étages, tous sont généralement situés dans la pièce de vie commune, permettant de lier chaleur et intimité.

 DA GOUSKET, veut dire " aller au lit " ou aller dormir, c'est suivant en Bretagne, chaque département à sa façon de l'interpréter !!

Kenavo arwech'all !!

(Au revoir à la prochaine !)

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Et si les âmes soeurs existaient ?

Elle est encore jeune et déjà lasse, elle parle d'amour à la télévision mais peine à trouver du sens à sa propre histoire : Dans un café de l'île Saint Louis, elle croise la route d'une élégante femme mûre, elle a les cheveux blancs et les yeux clairs : Elle a cherché l'amour dans les bras d'hommes qui l'ont plus ou moins aimée, jusqu'à ce que l'évidence d'une rencontre éclipse toutes les autres. Au fil de leurs échanges, elle transmet à travers son histoire ce qu'elle a découvert de l’amour, le vrai.

Sabrina Philippe est psychologue. Chroniqueuse dans l’émission « Toute une histoire », elle collabore avec divers magazines et radios.

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Jutta a commencé à créer des bijoux en 1984, en 2000, elle obtient le plus haut diplôme de maitrise en joaillerie en Allemagne, ce diplôme lui a permis d'acquérir la précision, le savoir-faire et la maitrise de son métier.

En 2002, à son arrivée en France, sur la commune de Beg Léguer, elle a été immédiatement émerveillée par la beauté unique des paysages, depuis 2009, Jutta est installée à Lannion dans un environnement verdoyant, lumineux et spacieux.

Son rythme de production :

" En réalité, les pièces mûrissent au fil de mon imagination, c'est un métier où il faut prendre son temps pour choisir quelle pierre précieuse est la plus adaptée à la création : Ma demande artistique est de me laisser guider, de créer des bijoux uniques, avec mon savoir-faire spécifique, il faut être rigoureux, patient pour créer la pièce qui fera chavirer le coeur de mes clients."

Ses inspirations :

" Je m'inspire de la nature, des merveilles qui en ressortent, comme la beauté d'une fleur sous les rayons du soleil ou encore un grand rocher, dont on s'approche , qui nous intimide et nous fait sentir tout petits."

Cultiver l'essentiel :

Ma Participation à ...

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En 1860, Hippolyte Violeau, découvre les dolmens habités :

Après l'histoire de la règlementation de la pêche, l'historien maritime Pierre-Antoine Vezin, évoque les habitations dans les dolmens, grâce au témoignage d'Hippolyte Violeau : Hippolyte Violeau est un écrivain né à Brest, en 1818, il avait pour spécialités la description des petits pardons bretons et l'étude du côté misérable de la vie de la paysannerie bretonne, on le compara parfois à Victor Hugo.

Trégastel, un village oublié :

Trégastel n'a pas toujours été la riante station balnéaire connue aujourd'hui : Les écrivains et historiens la décrivent quand ils y passent comme un village oublié, replié sur lui-même. François-Marie Luzel traversa Trégastel en août 1864, mais il passa son chemin. Hippolyte Violeau fit au moins deux passages à Trégastel, et son témoignage porte sur la vie des plus misérables, qui vivent de charité, et habitent les trous des rochers, des troglodytes. C'est juste avant le tournant dans l'histoire de Trégastel, l'arrivée des promeneurs et des premiers « baigneurs ». Les écrits d'Hyppolite Violeau (1856 et 1861) sur la vie trégastelloise, sont les ultimes témoignages de la vie d'autrefois : Hippolyte Violeau nous explique, dans la nouvelle intitulée « la famille Déniel » (1861), que les habitant troglodytes sont des laissés pour compte, essentiellement des ouvriers agricoles qui n'ont plus la force de travailler, et qui viennent s'abriter sous les rochers de Trégastel et Ploumanac'h.

Les dolmens sont habités :

" En effet, Déniel s'était retiré pour y cacher ses derniers jours, dans le Dolmen de Kerguntuy, habité précédemment par un autre vieillard dont la mort l'avait laissé vide. Plus tard, j'y trouvai encore établi, un de ces malheureux laboureurs si cruellement abandonné. À cette époque, plusieurs familles indigentes avaient aussi cherché un abri dans le creux des rochers de Ploumanac'h et de Pleumeur-Bodou ».

Vers 1900, le dolmen devint l'atelier d'un maréchal-ferrant qui, si vous lui demandiez, vous le faisait visiter. Bien évidemment, il n'y avait pas que le dolmen qui était habité, les cartes postales montrent d'autres lieux (comme Ploumanac'h). Ce style d'habitation a disparu au fur à mesure de l'urbanisation. Il est certain que l'occupation allemande sonnât le glas de ce type de vie.

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