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infos d'hier

2023-09-29T21:58:00+02:00

Mon P'tit Journal

Publié par luna

Ici ..

QUI ÉTAIT LE PÈRE LACHAISE?

Il a laissé son nom au célèbre cimetière parisien, mais qui était le Père Lachaise?
 

Dernière demeure de Balzac, Chopin, Edith Piaf ou encore Jim Morrison, le cimetière du Père Lachaise est un véritable lieu d'histoire. Mais celui qui a donné son nom au plus grand cimetière parisien est aujourd'hui moins connu que ses célèbres hôtes. Le père Lachaise, ou plus précisément François d'Aix de la Chaize était pourtant un personnage éminent: le confesseur du roi Louis XIV.

Portrait de François d'Aix de La Chaise dit père Lachaise. © BNF Gallica

Le prêtre résidait à l'endroit même où se trouve le cimetière aujourd'hui. D'abord connu sous le nom de la Folie-Régnaut puis de Mont-Louis, le domaine n'a rien à voir à l'époque avec une nécropole. A la place se trouve la maison d'un riche commerçant, qui sera ensuite rachetée par les Jésuites au début du 17e siècle. C'est à cet endroit que s'installe le confesseur du roi.

Une notoriété qui reste dans le quartier

Sa notoriété marque le quartier, la propriété des Jésuites est connue sous le nom de Maison du Père Lachaise. Ce n'est qu'au 19e siècle que la parcelle devient un cimetière alors que les autorités cherchent des terrains pour installer des cimetières.

Les 43 hectares acquis deviennent en 1804 le cimetière de l'Est. Mais l'appellation ne perdurera pas et le public continue d'identifier le lieu au nom du confesseur de Louis XIV. Ironie de l'histoire, François de La Chaize n'est même pas inhumé dans le cimetière parisien mais dans l'église Saint-Paul Saint-Louis, située dans le Marais. Le père La chaize ne réside pas au palais de Versailles, mais à la maison professe près de l'église Saint-Paul à Paris, conformément à la règle des Jésuites ayant une fonction officielle. Il est inhumé dans la crypte de cette église.

"Arman"-Peintre-sculpteur

"Balzac"

"Alain Baschung"

"Colette"

"Marie Trintignant-Sophie Daumier"

"Molière"

"Oscar Wilde"

"??"

"Edith Piaf"

"Marcel Marceau"

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Père Lachaise des animaux

 

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2023-09-29T08:49:55+02:00

Infos d'Art

Publié par luna

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15 anecdotes artistiques insolites pour briller à l'apéro..

Une oeuvre accrochée à l'envers, des inspirations inattendues, des révélations surprenantes...Retour sur 15 anecdotes d'histoire de l'Art qui vont épater la galerie 

 

La torpeur de l’été commence à peser, les apéros ne cessent de s’enchaîner, mais tu aurais bien besoin d’une petite dose de culture (et de sujets de secours, si la discussion tourne court).

Pour t'aider, Beaux Arts te propose une sélection d’anecdotes à picorer entre deux cacahuètes et un verre de rosé (à consommer avec modération bien sûr) : le surnom intime de Toulouse-Lautrec, un film d’horreur inspiré par Magritte, le rapport entre le Centre Pompidou et Nike… Et qui sait ? Peut-être ressortiras-tu du dîner aussi inspiré que Salvador Dalí !

1. Orange is the new safran

Le savais-tu Avant 1540, l’orange s’appelle… « safran », comme l’épice venue d’Orient ! C’est à cette date que la couleur, qui tire finalement son nom de l’agrume, est pour la première fois mentionnée dans un manuscrit anglais.

Francisco de Zurbarán, Nature morte aux citrons et oranges avec une rose, 1633

2. Chefs-d’œuvre à la chaîne

Pablo Picasso a peint quelque 60 000 œuvres au cours de sa vie, soit deux par jour en moyenne.

 

Portrait de Pablo Picasso dans son atelier, cigarette à la main, Paris, vers 1950
 

3. Question de bon sens

Au MoMA de New York en 1961, « Le Bateau » de Matisse a été exposé pendant 47 jours… à l’envers ! Personne n’avait vu l’erreur.

Henri Matisse, Le Bateau (présenté dans le mauvais sens au MoMA en 1961), 1953

4. Une femme en vaut trois

Les trois femmes dans Femmes au jardin de Monet (1866) ont toutes le même visage… Celui de Camille, épouse de l’impressionniste.

 

Claude Monet, Femmes au jardin, à Ville d’Avray, vers 1866

Un défi de taille

Lorsqu’il entreprend la réalisation de cette toile, Monet n’est pas encore le père de l’impressionnisme. C’est un fringant jeune homme de 26 ans, qui coule des jours paisibles du côté de ville d’Avray, où il a loué une propriété. Il se lance alors un défi de taille : peindre, en plein air, une toile aux dimensions monumentales, de plus de deux mètres cinquante sur deux mètres ! Soit un format alors réservé à la peinture d’histoire… Le jeune peintre n’a pas froid aux yeux ! Pour travailler à la partie haute sans modifier son point de vue, il creuse une tranchée dans son jardin pour y descendre le tableau suspendu à une poulie. Mais cette technique, aussi ingénieuse soit-elle, a probablement causé des dommages précoces à l’œuvre, récemment mis au jour par les chercheurs du C2RMF…

5. La revanche d’une ex

Baudelaire a demandé à Courbet d’effacer son ex-maîtresse, Jeanne Duval, tout à droite de sa toile L’Atelier du peintre (1855) où il figure lisant un livre. Ironie du sort, la peinture s’oxydant la silhouette de la jeune femme se devine à nouveau par transparence.

 

Gustave Courbet, L’Atelier du peintre. Allégorie réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique et morale, 1854–1855

6. Ça sent le vécu

Dalí a eu l’idée de peindre la Persistance de la mémoire (1931), son fameux tableau aux montres molles, après avoir vu lors d’un dîner un « camembert coulant ».

Salvador Dalí, La Persistance de la mémoire, 1931

7. Royales caries

Parce qu’elle avait les dents gâtées par un abus de sucrerie, l’impératrice Joséphine ne souriait jamais sur les tableaux.

 

François Gérard, Joséphine en costume de sacre, 1807–1808

 
 
8. Un surnom fort de café !
Parce qu’il souffrait de priapisme (une érection prolongée et douloureuse), Toulouse-Lautrec était surnommé par les filles des maisons closes qu’il côtoyait « la cafetière » – son manche étant toujours bien droit 

Henri de Toulouse-Lautrec en habit de femme, vers 1890

 

9. On te ressert ?

Parce qu’il buvait au quotidien des litres de vin, le peintre montmartrois Maurice Utrillo était surnommé « Lilitron ».

Suzanne Valadon, Portrait de Maurice Utrillo, 1921

10. Un, deux, trois… peignez !

J-346 avant Paris 2024 ! Savais-tu que de 1912 à 1948, les JO avaient des épreuves d’art ? Le « Pentathlon des muses » récompensait en architecture, littérature, musique, peinture et sculpture, les meilleures représentations du sport.

Affiche officielle des Jeux olympiques d’été de Londres 1948

 

 

11. Une pompe qui ne manque pas d’air !

Tinker Hatfield a eu l’idée du design de la basket Air Max de Nike, avec sa bulle d’air apparente dans la semelle, en découvrant l’architecture du Centre Pompidou toute tuyauterie dehors.

Le Centre Pompidou par Renzo Piano et Richard Rogers

 

12. Jeux de mains…

La majorité des empreintes de mains trouvées dans les grottes ornées en France et en Espagne ont été faites par des femmes.

Empreinte de main dans la grotte du Pech Merle en Dordogne, 29 000 av. J.-C.

13. Diaboliquement efficace

L’Empire des lumières (1954) de René Magritte a inspiré une célèbre scène du film d’horreur L’Exorciste (1973) : l’arrivée du père Merrin devant la maison des McNeil.

 

Affiche de l’Exorciste de William Friedkin / René Magritte, L’Empire des lumières, 1973 / 1954

Victime d’un pigment noir à base de bitume qui a mal séché, Le Radeau de La Méduse, chef-d’œuvre de Théodore Géricault (1818) conservé au Louvre, est amené à disparaître !

Théodore Géricault, Le Radeau de La Méduse, 1818 – 1819

La plus morbide

La scène, tout à fait morbide, est inspirée d’un fait réel. Celui, en 1816, du tragique naufrage de la frégate La Méduse. Abandonnés à leur sort, les pauvres marins s’étaient livrés à des actes de cannibalisme. Ce chef-d’œuvre de Théodore Géricault (1791–1824) marque un tournant dans la peinture d’Histoire. En effet, lorsqu’il s’empare du sujet, le fait divers est devenu un symbole politique. L’artiste avait alors reconstitué dans son atelier un véritable radeau et étudié précisément des cadavres… Le résultat est spectaculaire tant par sa taille (la toile mesure près de 7 mètres sur 5) que par son exécution, qui mêle habilement théâtralité et réalisme cru.

 

15. Passion chats, passion châteaux

L’architecte Eugène Viollet-le-Duc, connu pour la restauration de Notre-Dame, aimait tellement les chats qu’en restaurant le château de Pierrefonds au XIXe siècle, il s’est amusé à inclure 80 sculptures félines un peu partout !

Eugène Viollet-le-Duc, L’un des nombreux chats du château de Pierrefonds, 1858
 

 

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2023-09-22T09:59:45+02:00

Mon P'tit Journal

Publié par luna

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"Rêve dans les ruines de Pompéi-Paul-Alfred de Curzon (1866)

La nuée ardente du Vésuve aurait tué les habitant  de Pompéi en moins de 20 minutes

Selon une nouvelle étude, la nuée ardente libérée par le Vésuve en l'an 79 aurait englouti Pompéi pendant entre 10 et 20 minutes. Une durée suffisante pour que la majorité de ses habitants ne meurent asphyxiés par les gaz et les cendres.

C'était en l'an 79. Après huit siècles de sommeil, le Vésuve entrait violemment en éruption et projetait un nuage de cendres et de gaz brûlants dans les airs. Les alentours du volcan n'y résistèrent pas. Les heures suivantes, ce sont des milliers d'habitants qui furent tués, des paysages dévastés et des villes dont Pompéi et Herculanum rayées de la carte.

Cette catastrophe demeure à ce jour l'une des plus dramatiquement célèbres de l'Histoire. Mais que s'est-il exactement passé ce jour-là ? Et comment les habitants sont-ils réellement morts ? C'est ce que tentent encore de déterminer les scientifiques et archéologues près de deux millénaires après l'éruption volcanique.

De précédentes recherches ont estimé que le nuage du Vésuve s'était élevé jusqu'à une trentaine de kilomètres et avait déversé quelque quatre kilomètres cubes de pierres ponces et de cendres sur ses alentours. Aujourd'hui, une nouvelle étude publiée dans la revue Scientific Reports vient compléter le tableau.

A Pompéi, les dépôts de matériaux volcaniques témoignent de l'ampleur de l'éruption du Vésuve.  © Dellino et al., Scientific Reports

Selon ces travaux menés par une équipe italienne et britannique, la nuée ardente du volcan italien aurait persisté entre 10 et 20 minutes à Pompéi. Soit suffisamment longtemps pour que la majorité des habitants meurent asphyxiés par les gaz et la pluie de cendres avant d'être atteints par les autres éléments relâchés par l'éruption du Vésuve.

Une coulée moins brûlante et intense ?

Les coulées pyroclastiques sont le phénomène le plus dévastateur des éruptions dites explosives. Comparables à des avalanches, elles sont formées d'un flux dense de particules de température élevée qui dévale à très grande vitesse les flancs du volcan. Selon les recherches, l'éruption de 79 aurait connu deux phases et libéré plusieurs coulées

A Herculanum, qui était situé au pied du Vésuve, les observations ont suggéré que la température et la puissante du phénomène étaient tellement élevées que toute survie était impossible. A Pompéi localisée un peu plus loin, en revanche, les indices laissaient penser que la coulée était peut-être moins brûlante et intense.

Or, sous de telles conditions, une survie pourrait éventuellement être possible si la coulée n'avait persisté que pendant quelques minutes. C'est pour en avoir le coeur net que les scientifiques ont démarré une nouvelle étude en combinant des données collectées sur le site archéologique et les résultats de précédentes recherches.

Ceci leur a permis de concevoir un modèle mathématique pour réaliser des simulations numériques et estimer les paramètres physiques des coulées pyroclastiques. Verdict : les habitants de Pompéi n'avaient finalement que très peu de chances d'échapper aux phénomènes dévastateurs.

17 minutes en enfer

Selon les résultats, le mélange de gaz et de cendres présentait une température avoisinant les 115°C et une pression dynamique légèrement supérieure ou inférieure à 1.000 pascals (Pa). C'est bien moins que les valeurs estimées à Herculanum. Mais à Pompéi, la coulée aurait largement perduré.

Ces corps encore intacts et vêtus découverts à Pompéi laissent penser que la température de la coulée n'était pas suffisamment élevée pour les brûler, contrairement à Herculanum.  © Dellino et al., Scientific Reports

 

Les calculs indiquent qu'elle aurait englouti la ville durant 17 minutes en moyenne. Combinée à la concentration en particules, cette durée semble largement suffisante pour provoquer des effets mortels sur les habitants. En clair, l'asphyxie liée à l'inhalation des cendres seraient la principale cause de décès chez ces derniers.

"Il est probable que des dizaines de personnes sont mortes en raison de la pluie de lapili (les éjectats volcaniques, ndlr) qui est tombée sur Pompéi après l'éruption, mais la plupart sont mortes d'asphyxie", a résumé Roberto Isaia, chercheur à l'Observatoire du Vésuve de l'Institut national de géophysique et de volcanologie (INGV) repris par The Guardian.

"Ces 15 minutes au sein d'un nuage infernal ont dû être interminables. Les habitants ne pouvaient pas imaginer ce qui était en train de se produire. Les Pompéiens ont vécu avec les séismes mais pas avec les éruptions, donc ils ont été pris par surprise et balayés par le nuage incandescent de cendres", a poursuivi le co-auteur de l'étude.

Si cette nouvelle étude précise le scénario de l'éruption, ce dernier comporte encore de nombreuses zones d'ombre, que les archéologues tentent de combler en poursuivant les fouilles sur le terrain. Et près de deux millénaires après, les découvertes se poursuivent au milieu des ruines de la cité disparue.

Comprendre pour mieux prévoir

Néanmoins, ces travaux résonnent aussi dans le présent alors que le Vésuve, de même que de nombreux volcans, demeurent sous étroite surveillance à travers le monde. "Le modèle développé peut être appliqué à d'autres volcans actifs", a confirmé dans un communiqué Roberto Isaia.

Le Vésuve située dans la baie de Naples demeure aujourd'hui sous haute surveillance. © NASA

"Il est très important d'être capable de reconstruire ce qui s'est produit durant les éruptions passées du Vésuve, à partir des données géologiques, afin de retracer les caractéristiques des coulées pyroclastiques et leur impact sur la population", a renchéri le professeur Pierfrancesco Dellino de l'université de Bari en Italie et premier auteur de l'étude.

"L'approche scientifique de cette étude révèle des informations contenues dans les dépôts pyroclastiques qui clarifie de nouveaux aspects sur l'éruption de Pompéi et fournit des aperçus précieux pour interpréter le comportement du Vésuve, également en termes de protection civile", a-t-il ajouté.

Le volcan napolitain s'est réveillé à plusieurs reprises au XXe siècle. Sa dernière éruption remonte à il y a plus de 75 ans, en 1944. Mais s'il en connaissait une nouvelle, les conséquences pourraient être considérables. Actuellement, quelque 700.000 personnes vivent sur les flancs du Vésuve et quatre millions dans la région environnante. 

 

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2023-09-12T05:26:45+02:00

En aparté ...

Publié par luna

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“Tant que tu pourras contempler le ciel sans crainte, tu sauras que tu es pur intérieurement et que malgré les ennuis tu retrouveras le bonheur.”

-Anne Frank-

Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main, en Allemagne. Son père, Otto Frank, avait servi dans l’armée allemande pendant la Première Guerre mondiale et avait reçu le grade de lieutenant, ainsi qu’une décoration pour bravoure : la Croix de fer. Il devient ensuite banquier et en 1925, il épouse Edith Höllander.

 

Le couple a eu deux filles. D’abord Margot, en 1926, et, trois ans plus tard, Anne. Ils formaient tous une famille juive traditionnelle de la classe moyenne supérieure.

Lorsque Hitler prit le pouvoir en Allemagne en 1933, la persécution des Juifs commença et la famille décida de déménager à Amsterdam, aux Pays-Bas.

Dans leur nouvelle maison, Otto Frank a ouvert un magasin vendant de la pectine et des épices. Tout allait bien jusqu’en 1942, lorsque les nazis envahirent la Hollande et, comme c’était leur coutume, commencèrent la “chasse” aux Juifs. Les Néerlandais sont les seuls Européens à s’être ouvertement opposés à cette persécution, mais leurs protestations n’ont guère eu d’effet.

 

Fuir les persécutions

La situation des Juifs devient de plus en plus tendue et Otto Frank comprend que toute la famille est en grand danger. Leur capture n’est plus qu’une question de temps. Ainsi, avec l’aide de quelques collaborateurs de son travail, il a préparé une cachette dans le bâtiment où il avait son magasin.

À cet endroit, il y avait un autre bâtiment à côté, séparé seulement par une cour. Il comptait trois étages, et au dernier étage, une porte secrète conduisait à un grenier. L’entrée était cachée derrière une étagère qui menait à un escalier. Ce dernier conduisait à son tour à un petit endroit où se trouvaient deux petites pièces et une salle de bain.

Otto a parlé de ces plans à sa femme et à sa fille aînée, mais Anne Frank n’en savait rien. Du moins jusqu’à ce qu’il soit temps de se cacher. Cela s’est produit le 9 juillet 1942, trois jours après que Margot, la fille aînée, ait été informée qu’elle devait se présenter aux autorités allemandes. Cela signifie qu’elle sera arrêtée et expulsée.

Face à cette situation, Otto a décidé qu’il était temps pour la famille de se cacher. Ils devaient quitter leur maison la nuit, en portant tous les vêtements qu’ils pouvaient mettre, car il était très dangereux de transporter des valises. Ils ont quitté leur maison dans le désordre et avec une note désinvolte suggérant qu’ils s’enfuyaient vers la Suisse. Le plan a été conçu pour fonctionner.

 

Un refuge, un univers

La maison d'Anne Frank

L’entrée de la salle annexe secrète

 

Pendant les deux années suivantes, la famille a vécu dans le refuge, où une autre petite famille et un dentiste sont également arrivés. Au total, huit personnes ont partagé le refuge. Anne Frank a réussi à décrire chacun d’eux avec beaucoup de profondeur et de talent, les transformant en personnages littéraires.

Le journal parle de leurs caractères et des tensions auxquelles ils ont dû faire face dans la situation précaire dans laquelle ils vivaient. Les réfugiés ont survécu pendant cette période grâce à l’aide de leurs amis néerlandais, qui leur ont fourni de la nourriture et les ont tenus au courant des événements. C’est dans ce petit endroit qu’Anne a pensé le monde et est tombée amoureuse pour la première fois.

Tout s’est terminé le 4 août 1944. Ils ont été découverts lors d’une inspection de routine par les responsables de la Gestapo néerlandaise. Les réfugiés ont été envoyés dans un camp de concentration et la famille Frank a été séparée à Auschwitz.

Finalement, Anne est restée seule avec sa soeur et toutes deux ont été envoyées au camp de Bergen-Belsen, où elles sont mortes toutes deux du typhus.

Le seul survivant était Otto, le père d’Anne Frank. Lorsqu’il est retourné à la cachette, à la recherche d’indices sur sa famille, la Croix-Rouge l’a informé de la mort de tout le monde. Puis ils lui ont donné le journal d’Anne, qu’il ne connaissait pas. Il a tout de suite su qu’il s’agissait d’un document d’importance historique. Deux ans plus tard, il a réussi à le faire publier. Et, ainsi, il a réalisé le rêve de sa petite fille, décédée à 15 ans.

Statue d'Anne Frank (Amsterdam)

 « Les richesses peuvent toutes être perdues, mais ce bonheur dans votre propre cœur ne peut être que voilé, et il vous apportera le bonheur à nouveau, tant que vous vivrez. »

 

(Je ne dis en aucun cas que je suis un expert de la Seconde Guerre mondiale ou que je pourrai jamais comprendre pleinement ce que les Juifs ou quiconque a traversé pendant cette période horrible de l’histoire. Ce ne sont que mes pensées et expériences personnelles. Je pense que tout le monde devrait ouvrir son esprit et essayer d’en apprendre le plus possible sur l’histoire.) Source

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2023-08-18T21:58:00+02:00

Le vendredi C !!

Publié par luna

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L’histoire de Bruges

La cité belge a joué un rôle de tout premier plan au moyen-âge en servant de place d’échange internationale et de bourse ou se rencontraient grands marchands du monde entier.

Se protéger des Vikings

Bruges est une ville plutôt récente. Les plus anciennes traces d’habitation remontent au 9ème siècle. À l’époque, le bord de mer est la cible des vikings qui pillent et sont craints par les populations locales.

Pour remédier à la situation le comté de Flandres est instauré par Baudouin. Au centre de ce nouveau territoire, Bruges est la place forte qui protégera les habitants. Situé sur un bras de mer la ville « Bryggia » qui signifient « lieu de mouillage » en norrois donne le nom que nous connaissons actuellement à la ville.

La place principale (le Burg) est créé. Des routes sont construites de même que la première cour de justice.

La mer du Nord, opportunité commerciale

Grand place

La Grand Place, carrefour commercial depuis le Moyen-âge

C’est l’accès direct à la mer qui permettra à Bruges de se transformer en ville florissante. Au début du 11ème siècle, le Burg est un port connu et la ville est suffisamment protégée pour que les attaques vikings stoppent. Les canaux sont alors construits tout comme les murs actuels de la cité. Une petite dynastie de châtelains facilite le développement de la cité.

En 1134, une forte inondation creuse un chenal plus important jusqu’à la mer du Nord. C’est l’occasion pour la ville de renforcer ce qu’à fait dame Nature. Une grande digue (damme) est gagnée sur la mer. En réalisant cette opération de génie civil, le petit port local peut désormais viser grand.

Quand les français s’en mêlent

En 1300, la Flandre est rattachée à la France. Souhaitant lever un impôt supplémentaire, le roi Philippe IV le Bel se heurte à la colère des brugeois qui, en représailles, assassinent tous les français de la ville. Ce sont les terribles matins de Bruges (Brugse Metten).

L’épisode se termine par la bataille des Éperons d’Or à Courtrai le 11 juillet 1302 et la victoire des flammands.

Place marchande internationale

Guilde des Archers de Saint-Sébastien

Bâtiments de la Guilde des Archers de Saint-Sébastien

La place centrale (à l’époque) de la cité attire les marchands des mers : gascons, anglais, suédois trouvent à Bruges un lieu d’échange commercial très pratique pour leurs affaires.

Au tout début du 13ème siècle, Bruges améliore encore sont intérêt commercial avec la levée de certaines taxes par le comté de Flandres qui souhaitent renforcer l’attrait de la cité. Les commerçants d’Allemagne puis d’Italie, du Portugal, de l’Espagne deviennent des utilisateurs réguliers des services de la ville.

Bruges, Première bourse européenne

Au 13ème siècle, la première bourse européenne voit le jour. Les principaux acteurs se réunissent devant la maison des Van des Buerse (qui donnera plus tard le nom de bourse). Les monnaies de tout le monde civilisé s’y échangent tout comme les prix à venir des marchandises en transit ou en production à l’autre bout du monde. En parallèle de cette invention, tout un écosystème autour de la finance se met en place.

Lieu incontournable du commerce européen, Bruges voit sont apogée entre le 12ème et le 15ème siècle.

Le déclin de la cité

Au 16ème siècle, la ville compte 100000 habitants mais les belles années sont déjà derrière elle. L’accès à la mer devient de moins en moins praticable et la baie du Zwim s’ensable inéluctablement jusqu’à empêcher les bateaux de venir jusqu’en ville. Plusieurs tentatives de désensablement ne suffiront pas au marchandes pour revenir. Le commerce diminuant la ville perd un certain nombre de ces privilèges.

Anvers devient alors la première ville de Flandres.

Un timide renouveau

Les 3 prochains siècles ne verront pas d’améliorations majeures au profit de la ville et ce n’est qu’avec la construction du nouveau Bruges avec port et canal avec les moyens modernes en 1907 que Zeebrugge situé en bord de mer permettra à la ville de sortir de sa torpeur commerciale : Le port de Zeebrugge est aujourd’hui une importante plateforme d’échange maritime.

 

La station balnéaire et la plage de Zeebrugge

À seulement 30 petites minutes du Bruges historique, relié par le canal Baudouin (12km de long) se trouve Zeebrugge. Cette extension de la ville avec son accès direct à la mer du Nord montre une toute autre facette de Bruges : une Bruges industrieuse, gourmet et tournée vers les loisirs maritime.

Zeebrugge, le port international

Construit dans une région de polders, Zeebrugge est une extension récente de la ville. Au début du 20ème siècle, Bruges a la volonté de se doter d’un vrai port maritime. Ces déboires des siècles passés liés à l’ensablement des canaux ont convaincu les responsables politiques d’alors que construire un tout nouveau port moderne, capable d’accueillir de gros bateaux est indispensable. Zeebrugge était né.

Port de Zeebrugge

Port de Zeebrugge

Le port est aujourd’hui incontournable dans le paysage belge aussi bien pour la plaisance, la défense que l’économie.

L’intérêt touristique du port est néanmoins vivace. Les deux guerres mondiales, les travaux de construction et de reconstruction, un sous-marin russe ouvert aux visiteurs ou encore l’attrait pour le tourisme industriel fournissent beaucoup de contenu à faire partager aux visiteurs. Il est ainsi possible de réaliser des balades en bateau afin de mieux comprendre comment fonctionne un port majeur d’Europe.

Zeebrugge, la « capitale du poisson »

Avec les yeux tournés vers la mer, les restaurateurs locaux ne pouvaient proposer que des poissons. Sous une multitude de formes et agrémentés façon belge : anguilles, crevettes, sole, turbot en bouillon ou en pot-au-feu agrémenté pourquoi pas de houblon. Dans les menus, l’incontournable est le waterzooi.

C’est l’avantage des villes qui disposent d’un port : le poisson est ultra-frais et les restaurants ont un accès direct aux fruits de la pêche via la criée locale.

Zeebrugge, la plage et la station balnéaire

plage de zeebrugge

Jour de vent sur Zeebrugge

Avec la plus grande plage de Belgique, Zeebrugge dispose d’un atout pourtant méconnu. Ici, on a l’impression que les gens se connaissent tous et l’ambiance y est familiale. L’immensité de la plage (et le fait qu’elle soit très plate) permet de pratiquer toutes sortes d’activités sans déranger ses voisins de serviette : kitesurf, char à voile.

La plage est surveillée en été et dispose de douches et vestiaires. Seul point de vigilance : comme la plage est très plate, la mer remonte très vite à marée montante.

 

 

Le waterzooi

Plat signifiant « cuit dans l’eau », le waterzooi (ou waterzoï) est un bouillon de morceaux de viandes ou poissons plus ou moins fins accompagné de ses petits légumes. Servi dans une assiette à soupe, c’est un peu la bouillabaisse du nord.

plat typique belge

Waterzooi de poisson

 

 

 

 

Brugge 1900 "dentellière au Béguinage"

Petite histoire du Béguinage de Bruges

 

L’histoire du Béguinage de Bruges, dit le « béguinage de la vigne » (« De Wijngaard » en flamand) commence en 1225. Un groupe de béguines s’installent juste en dehors de la ville, au bord d’un cours d’eau. Pour vivre, elles travaillent la laine pour le compte de tisserands brugeois : Vingt ans plus tard, en 1245, Marguerite de Constantinople, comtesse de Flandres, apporte soutien et protection au béguinage, qui devient une paroisse indépendante : Au cours des siècles suivants, le béguinage s’agrandit, s’enrichit et finit par être intégré à la ville de Bruges, qui s’étend elle aussi. L’origine des béguines évolue également : d’abord ouvert aux plus démunies, le béguinage ne sélectionne plus ses nouvelles recrues que dans les rangs de l’aristocratie : La Révolution française porte un coup fatal au béguinage : bien qu’il soit rouvert au début du XIXème siècle, il ne retrouvera jamais son prestige d’antan. Le déclin est inévitable et la dernière béguine de Bruges disparaît en 1930. Depuis les années 1920, le béguinage est occupé par une communauté de religieuses bénédictines....En 2002, le Béguinage de Bruges est inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

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2023-08-11T12:24:35+02:00

Ton 06 ?

Publié par luna

 

 

 
Abonnés du téléphone : priés de
désigner en 1897 leurs correspondants
par leur numéro
(D’après « Les Annales politiques et littéraires », paru en 1897)

Publié / Mis à jour le LUNDI 14 NOVEMBRE 2022, par REDACTION

 
 
 
C’est en 1897, dans une société ne comptant alors qu’un nombre restreint d’abonnés au téléphone, que le gouvernement enjoint les usagers de ne plus désigner les correspondants avec lesquels ils souhaitent entrer en communication, que par leur numéro, et non leurs coordonnées postales. Un bouleversement raillé par un chroniqueur du temps qui y voit en outre une nouvelle forme d’esclavagisme.

La circulaire émanait de Jean-Baptiste Delpeuch, alors sous-secrétaire d’État au Commerce, à l’Industrie et aux Postes et Télégraphe dans le gouvernement Jules Meline. Un journaliste des Annales politiques nous explique qu’adressée à tous les abonnés du téléphone, elle n’est pas, il faut bien l’avouer, sans avoir causé à ces derniers une inquiétude dont l’honorable sous-secrétaire d’Etat sera le premier, nous en sommes convaincus, à comprendre les motifs. Le document dont il s’agit apporte, en effet, deux nouveautés notables.

Voici la première : « Vous voudrez bien, est-il enjoint aux abonnés, lorsque vous demanderez une communication avec un abonné directement relié à un bureau de Paris, indiquer, non plus le nom et l’adresse de votre correspondant, mais le numéro sous lequel ce dernier sera inscrit dans la liste. »

 

C’est-à-dire, par exemple, explique notre chroniqueur, que si vous désirez communiquer avec M. Durand, avenue des Champs-Elysées, vous ne direz plus à la téléphoniste : « Donnez-moi M. Durand, avenue des Champs-Elysées. » Elle ne comprendrait pas. Elle ne connaît pas M. Durand et ne sait pas s’il existe des Champs-Elysées. Elle n’a aucun moyen d’acquérir ces renseignements qui lui manquent. Vous devrez donc prendre votre liste des abonnés, espèce de Bottin que l’administration vous aura fourni, et y chercher le numéro sous lequel est inscrit M. Durand.

Vous objectez que vous n’avez pas ce volumineux bouquin dans votre poche, que vous perdrez un temps précieux a le retrouver dans vos papiers ou dans votre bibliothèque, et ensuite à le feuilleter pour y découvrir l’indication exigée. C’est votre affaire ! Pas de numéro, pas de communication. Ce n’est pas tout. Vous aurez soin de l’énoncer, ce numéro, « lentement et distinctement », attendu que les téléphonistes ont parfois l’oreille dure, « et en le décomposant en deux groupes dont le premier comprend les trois premiers chiffres », car ces demoiselles pourraient s’embrouiller dans cette arithmétique.

Si vous vous y embrouillez vous-même, si vous oubliez un chiffre pendant le temps que vous attendrez qu’on ait daigné répondre à votre appel, eh bien ! Vous reprendrez votre Bottin et tout sera à recommencer. Mais vous aurez la satisfaction de savoir que vous avez, « en simplifiant le service, contribué à l’accélérer ».

De cette louable préoccupation de la rapidité du service vous aurez une autre preuve, lorsqu’au lieu de demander une communication vous serez prié d’en recevoir une. C’est le second point de la circulaire. « Il est essentiel, y lisons-nous, de répondre dès le premier appel du bureau, sinon la téléphoniste qui a fait l’appel se retire et avertit l’appelant de la non-réponse de l’appelé. » Vous voilà donc condamné à vivre en tête-à-tête avec votre appareil, sans oser même passer un instant dans une autre pièce de votre appartement. Il ne suffira pas de préposer au téléphone un employé spécial, — ce qui déjà augmenterait singulièrement les frais ; avant qu’il ait eu le temps de vous aller quérir, la téléphoniste sera rentrée sous sa tente. Et tout sera perdu par un retard de quelques secondes.

Vous n’aurez aucun recours. « Si plus tard, dit la circulaire, celui-ci (l’appelé) se présente à l’appareil, il ne trouve plus aucun correspondant, et, s’il appelle à son tour, la téléphoniste qui lui répond et qui n’est pas celle qui l’avait sonné, ne peut lui fournir aucun renseignement. » Vous êtes prévenu : inutile d’insister. Comment voulez-vous que l’administration accélère le service, si elle perd son temps à répondre aux abonnés ? La véritable simplification est de ne pas les écouter.

Telles sont les mesures qui, si nous les avons exactement interprétées et si elles sont maintenues, vont achever de rendre enviable l’existence de l’abonné du téléphone ! Cette invention a déjà contribué à accroître le nombre des maladies nerveuses ; elle nous rendra fous. M. Delpeuch est un homme de progrès !

                  Les demoiselles du téléphone au sein d’un bureau téléphonique parisien en 1904

 

Et savez-vous quelles seront les conséquences de ce nouveau régime ? Il amènera un changement radical dans les habitudes de la vie civilisée. Voici, si l’on en croit Bill Sharp, comment seront rédigés, l’année prochaine, les échos mondains :

« Hier, nous dînions chez nos vieux amis, les 102,93 ; soirée charmante, animée, égayée par une foule de jolies femmes et de personnalités bien parisiennes. Qui citerai-je ? A la droite de la maîtresse de la maison, le célèbre académicien 88,05, qui contait son voyage en Palestine ; à sa gauche, le vieux général 56,720, toujours vert malgré les ans. Puis, remarqué, çà et là, 202,35, le jeune romancier psychologue, et notre éminent confrère 43,102, discutant âprement le cas de ce pauvre prince 36,001, dont la femme est partie avec un tzigane du restaurant 58,12 ; la toujours belle Mme 70,619, en corsage de velours vert-macchabée ; la jolie petite comtesse 26,569, toute en velours noir pailleté ; et d’autres dont j’ai oublié les chiffres.

« Après le dîner, merveilleusement servi par 207,12, l’ancien chef de l’empereur de Russie, une soirée réunissait l’élite du monde artistique et littéraire ; on a entendu successivement Mlle X..., de la Comédie-Française (impossible de la nommer autrement, elle n’a pas encore le téléphone, mais vous voyez qui je veux dire), puis Félix 110,025, dans ses monologues. On s’est séparé très tard, en se donnant rendez-vous au mois prochain. Il est rare de trouver ainsi réunis les matricules les plus estimés de l’Annuaire des téléphones. Terminons en annonçant les fiançailles du capitaine 27,110 avec Mlle 105,17. Ce mariage unit les familles 40,271, 54,106 et 112,95. Tous nos compliments aux jeunes fiancés. » Source

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2023-08-01T19:08:49+02:00

Infos d'Art

Publié par luna
 

 

 

 

𝗩𝗔𝗩𝗔, 𝗟𝗔 𝗧𝗥𝗜𝗦𝗧𝗘 𝗙𝗜𝗡 𝗗𝗘 𝗟𝗔 𝗗𝗘𝗥𝗡𝗜𝗘𝗥𝗘 𝗙𝗘𝗠𝗠𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗛𝗔𝗚𝗔𝗟𝗟

Valentina Brodsky, dite Vava, est née en 1915 à Moscou, en Russie, dans une famille aisée. Après la Révolution d'Octobre en 1917, la famille Brodsky a émigré en Allemagne, où Vava fait des études d'histoire de l'art.
En 1939, Vava quitte l'Allemagne pour la France, où elle a rencontre Marc Chagall pour la première fois avant que le peintre, d'origine juive, ne parte aux États-Unis en 1941 pour échapper aux persécutions pendant la Seconde Guerre mondiale.
Quand Marc Chagall revient en France, il s’installe à Saint Paul de Vence et retrouve Vava. Leur relation évolue en une romance qui débouche sur leur mariage en 1952.
Vava joue alors un rôle clé dans la gestion des affaires artistiques de Marc Chagall, s'occupant de la vente de ses œuvres et de la promotion de son travail. Elle est également une source d'inspiration pour l’artiste, qui peint de nombreux portraits d'elle et l'a représenté souvent dans ses œuvres.
Après la mort de Marc Chagall en 1985, Vava a continué à promouvoir l'héritage de l'artiste. Elle a organisé des expositions de ses œuvres à travers le monde et a contribué à faire connaître l'importance de son art. Mais bientôt, sa gouvernante, Irène Menskoï, profite des circonstances pour voler de nombreux tableaux conservés dans la villa de Vava. Avec la complicité de son compagnon, Irène Menskoï, elle alimente un commerce frauduleux d’œuvres de Chagall avec quelques marchands d’art véreux. L’escroquerie découverte, "l’affaire Chagall" fait la une de la presse. C’est dans ce contexte que Valentina Brodsky, qui fut la promotrice de l'art de l'un des artistes les plus célèbres du XXe siècle, s’éteindra, en 1993, à l’âge de 88 ans. Source : https://www.prohistoire.fr/
𝘐𝘭𝘭𝘶𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 : 𝘋𝘦𝘶𝘹 𝘵𝘦̂𝘵𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘔𝘢𝘳𝘤 𝘊𝘩𝘢𝘨𝘢𝘭𝘭, 1958
Peut être du pop art
 
K
 

BIOGRAPHIE DE MARC CHAGALL - Peintre et sculpteur français d'origine russe, Marc Chagall peignait dans un style atypique. Ses peintures et ses tableaux sont inclassables. Il a notamment peint le plafond de l'opéra Garnier.

Chagall a vécu presque cent ans

Né en 1887 près de Vitebsk, ville de l’actuelle Biélorussie (alors russe), Moïshe Zakharovitch Chagalov, dit Marc Chagall, meurt en 1985 à Saint-Paul-de-Vence. L’artiste traverse les horreurs du XXe siècle (exil, antisémitisme, persécution), qu’il transfigure en les imprégnant de son amour de la vie. Citoyen déraciné, il vivra à Paris, Berlin, Moscou, New York, Vence…

Chagall aimait les femmes

Trois en particulier. Notamment Bella, qu’il épouse en 1915 et peint à de multiples reprises dans des scènes de couple, avec leur fille Ida. « C’est comme si elle me connaissait depuis longtemps, comme si elle savait tout de mon enfance, de mon présent, de mon avenir, comme si elle veillait sur moi. (…) Je suis entré dans une maison nouvelle et j’en suis inséparable », déclare-t-il. Après le décès de Bella en 1944 et l’exil aux Etats-Unis, Chagall épouse l’Américaine Virginia McNeil, dont il a un fils, David, puis en 1952 Valentina Brodsky, dite « Vava », sa femme de ménage, qui est une source d’inspiration jusqu’à sa mort. source

 

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2023-07-28T22:00:00+02:00

Tu Ragotes ?

Publié par luna
 

 

VOICI POURQUOI IL NE FAUT PAS COLPORTER LES RAGOTS.

Dans la Grèce antique, Socrate avait une grande réputation de sagesse. Un jour, quelqu'un vint trouver le grand philosophe et lui dit:
- Tu sais ce que je viens d'entendre sur ton ami?
- Un instant, répondit Socrate. Avant que Vous me le disiez, j'aimerais vous tester les trois tamis.
- Les trois tamis?
- Oui, suite Socrate. Avant de raconter quoi que ce soit sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que vous voulez dire. J'appelle ça le test des trois tamis.
Le premier tamis est la VERITE. Avez-vous vérifié si ce que vous allez me dire est vrai ?
- Non, je viens de l'entendre.
- Très bien ! Donc, vous ne savez pas si c'est vrai.
On continue avec le deuxième tamis, celui de la GENTILLESSE. Ce que vous voulez me dire sur mon ami, est-ce que c'est bon?
- Oh, non ! Au contraire.
- Alors, interrogé Socrate, vous voulez me dire de mauvaises choses sur lui et vous n'êtes même pas sûr qu'elles soient vraies ?
Peut-être pouvez-vous encore passer le test du troisième tamis, celui de I'UTILITE. Est-ce utile que je sache ce que vous allez me dire sur cet ami ?
- Non, pas vraiment.
- Alors, conclut Socrate, ce que tu allais me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile. Pourquoi, alors, vouliez-vous me dire ça ?
"Les ragots sont une mauvaise chose. Au début, cela peut paraître agréable et amusant, mais à la fin, cela remplit nos Cœurs d'amertume et nous empoisonne l'esprit ! "
- Pape François
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2023-06-30T22:00:00+02:00

Mon P'tit Journal

Publié par luna

 

Ici ...

 

Le Dressing de Nana va ouvrir boutique à Quimper

Troisième enfant, troisième boutique pour Mathilde Pouliquen, gérante du Dressing de Nana. Elle reprend la cellule laissée vacante par Camaïeu dans la galerie Leclerc à Gourvily.

 

Mathilde Pouliquen (à droite) a confié la responsabilité de la boutique de Quimper à Léa Lennon (à gauche). ©Martine DE SAINT JAN.

Mathilde Pouliquen force le respect. Dans ses dernières semaines de grossesse (elle attend son troisième enfant), elle va ouvrir, samedi 17 juin 2023, sa troisième boutique de prêt-à-porter féminin, dans la zone commerciale de Gourvily à Quimper (Finistère).

Elle a déjà une boutique de e-commerce, un magasin à Châteaulin et un autre à Brest.

À Quimper, Le Dressing de Nana va remplacer Camaïeu dans la galerie de l’hypermarché Leclerc.

Des nouveautés tous les jours

Dans une surface de vente de 150 m2, les clientes trouveront des vêtements de fabrications française, italienne et chinoise (à des tarifs entre 16 et 60 euros, de la taille S au 4XL), des sacs, des chaussures et des bijoux.

« La collection d’été est très colorée, annonce Mathilde Pouliquen. On y retrouve beaucoup d’imprimés fleuris, des coupes fluides, du tricot, de la gaze de coton… »

Elle choisit soigneusement les pièces qu’elle va vendre « au coup de cœur et en fonction des tendances ». Et mise sur un renouvellement rapide de son offre : « Nous avons des nouveautés tous les jours », assure-t-elle. 

Avant, j’étais déjà dans le commerce comme responsable de boutique. Un jour, j’ai annoncé sur mon compte Instagram personnel une vente de mes vêtements. Tout est parti en 30 minutes ! Comme j’ai toujours eu envie d’avoir mon propre magasin, j’ai senti là qu’il y avait quelque chose à faire…

Mathilde Pouliquen

La jeune femme, de 31 ans aujourd’hui, a lancé son e-shop en décembre 2019 et ça a tout de suite bien fonctionné. « Le confinement de 2020 a bien aidé », admet-elle.

 

Son stock a commencé par occuper toute la salle de jeux des enfants puis a envahi aussi le salon de la maison familiale. En août 2020, elle a démissionné pour se consacrer au Dressing de Nana (le nom vient du diminutif de son aînée Naïla). 

Elle a ouvert en novembre 2020 une boutique éphémère à Châteaulin et a salarié son compagnon en mars 2021. « Nous formons une bonne équipe. Je vais vite et fort. Il est tranquille ! » Aujourd’hui, c’est lui qui manage les équipes. 

Car avec l’ouverture des boutiques de Brest (en mars 2023) et Quimper, Mathilde Pouliquen emploie désormais 13 personnes !

Les réseaux sociaux en appui

Un succès que la commerçante doit en partie aux réseaux sociaux. C’est elle-même qui les gère (en donnant de sa personne, puisqu’on la voit en photo pour montrer les vêtements). Et c’est quasiment un travail à plein temps, week-ends compris.

Le Dressing de Nana compte plus de 82000 followers sur Instagram.

 

"Je m’efforce de répondre aux commentaires et je tiens compte des avis de ma communauté. Je pense que la proximité est un atout. Mes clientes me connaissent, je suis d’ici. Elles nous tutoient d’ailleurs facilement en boutique."

C’est ainsi à la demande de ses abonnées que Mathilde Pouliquen a intégré les grandes tailles dans ses collections.

« Comme mon affaire tourne bien, mes fournisseurs sont prêts à répondre à mes besoins et sont réactifs. » Source

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2023-06-22T07:01:42+02:00

çà c'est...Maintenant !

Publié par luna

Une entreprise alsacienne crée la " Tartine Liquide ", une première mondiale !

C’est en Alsace que vient d’être créée cette innovation unique au monde, mixant liqueur de pain et de roquefort.

Les Grandes Distilleries Peureux Massenez se distinguent par deux angles : Elles peaufinent leur savoir-faire de Maître Distillateur et Maître Liquoriste depuis plus de cent cinquante ans et, avec Bernard Baud à la barre, elles n'ont de cesse de se projeter dans l'avenir en développant de nouvelles idées.

Cette année, la Maison Massenez est la première au monde à poser son empreinte sur un territoire vierge de la distillerie : la tartine liquide avec une Liqueur de pain, Massenez La Baguette, et une Liqueur de Roquefort. Ces nouvelles liqueurs originales jettent un pont entre le pain et le fromage, parts intégrantes de la tradition pluri-séculaire de la chère française, et l'univers de la mixologie, pour permettre des créations infinies et jamais vues jusqu'alors.

La Liqueur de Pain Massenez, la Baguette.

L’esprit précurseur du Président des Grandes Distilleries Peureux Massenez le pousse à mettre à contribution toute l'expertise des Maîtres liquoristes de la Maison pour élaborer une eau-de-vie à base de macération et distillation de pain. Naît une liqueur au goût à la fois étonnant et familier, celui d'une baguette fraîche avec la douceur d'une mie aérée et la chaude personnalité d'une croûte croustillante. Massenez la Baguette est bien plus qu'une nouvelle liqueur, elle incarne à elle seule le mot "spiritueux" en capturant l'âme du pain français tout en rendant hommage au travail des artisans boulangers.

La Liqueur de Roquefort.

Comme toujours, tout commence par une rencontre gustative et humaine, une rencontre entre deux maisons : la Maison Massenez, distillateurs et liquoristes exceptionnels, et la célèbre Maison Lorho, Maîtres fromagers affineurs. Cette aventure débute par les Accords Frappés qui marient, pour le plus grand plaisir des papilles, les belles liqueurs de la Maison et les fromages les plus subtils, notamment le Roquefort AOP Caves Baragnaudes Société et la Golden Eight à la Poire Williams. Tout le savoir-faire du Maître Distillateur est mis au service de cette création qui demande deux années de recherches en infusion et distillation, sans aucun ajout externe, pour traduire parfaitement les riches saveurs du Roquefort.

Et pour boucler la boucle gustative dans une expérience sensuelle unique, la Liqueur de Roquefort et la liqueur La Baguette s'unissent pour créer la première et incroyable tartine liquide.

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