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2023-04-06T10:11:11+02:00

On se Bidonne ?

Publié par luna

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2023-04-03T16:49:17+02:00

Au Vert !!

Publié par luna

Ma participation à ...

 

@potins-de-luna
By Bernieshoot

 

 

Tamara de Lempicka " le Turban Vert " (1927-1930)

Tamara de Lempicka " Jeune Fille en Vert " (1927)

 

 

 

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2023-04-02T22:50:00+02:00

La 21ème !!

Publié par luna

 

 

Pour la 21ème Edition de ...

 

... qui lui donne son nom...

On connait (un peu) la danse populaire dans les années 1920, mais le Charleston a été porteur de tout un courant de la mode de cette décennie ! Petit retour aux années folles ...

Le Charleston, d'abord une danse : Né parmi les esclaves noirs de Caroline du Sud et inspiré de danses traditionnelles africaines, le Charleston est avant tout une danse qui se popularise aux Etats-Unis dans les années 1910, accompagnant la naissance et l'engouement pour le jazz : Rapidement le Charleston est adopté par toute une frange de la jeunesse américaine, friande de jazz et de liberté. La danse fait scandale car ses mouvements très énergiques (mouvement des bras, contorsions des jambes, grimaces) sont considérés comme immoraux. Le racisme est par ailleurs toujours très présent… En France, le Charleston arrive en 1925 avec la « revue Nègre » venue d’Amérique. C’est un énorme succès, notamment grâce à la danseuse star, la spectaculaire Joséphine Baker, qui le popularise. Ancêtre de toutes les danses swing, le Charleston reste la danse de référence de 1920 à 1928 environ, des deux côtés de l’Atlantique.

Le style Charleston : Caractérisé par des mouvements ultradynamiques des jambes, au rythme d'une musique endiablée, le Charleston est une danse physique, qu'on la pratique seul ou à deux !  Les danseuses professionnelles et celles qui se produisent sur scène optent pour un costume minimaliste : Joséphine Baker et sa célèbre ceinture de bananes…). Les amatrices de jazz, elles, portent les robes du moment : droites, la taille descendue au niveau des hanches (voire pas du tout marquée), sans manche, la « robe Charleston » typique des années 1920 est souvent en mousseline ou tout autre tissu léger, courte, et n’entrave pas les gestes. Ornée de franges de perles scintillantes qui bougent avec le corps, il s’agit d’une des tenues les plus emblématiques qui soient ! Aux pieds, des salomés à petits talons qui assurent une bonne stabilité. Cheveux courts, accessoires et bijoux de tête, fume-cigarette, attitude libre : L’amatrice de Charleston est une « garçonne » en France, une « flapper » aux Etats-Unis.

Le Charleston, une attitude ! : Plus qu'une simple danse à la mode,  le Charleston accompagne un mouvement inédit, d'une part, une forme de reconnaissance pour la culture afro-américaine : Aux Aux USA, l’esclavage n’est aboli que depuis 1865 et il faudra encore des dizaines d’années pour que les noirs obtiennent des droits. Et voici qu’une musique issue de la minorité d’origine africaine apparaît comme le summum de la modernité et de la sophistication ! La jeunesse amatrice de jazz qui court les clubs est avide de liberté, surtout après la tragédie de la première guerre mondiale : Les femmes en particulier, marquent leur différence d’avec les générations précédentes : le corset a disparu, les robes raccourcissent et dévoilent bras et jambes, les cheveux courts font scandale, on boit de l’alcool (la Prohibition bat son plein aux Etats-Unis mais l’alcool de contrebande coule à flots), on fume en public… Les « flappers » américaines, tout comme les « garçonnes » françaises, croquent la vie à pleines dents et se laissent porter par l’insouciance. Mais dès la fin de la décennie, la crise mettra fin à cette parenthèse enchantée… 

 

 

 

Les premiers danseurs de la préhistoire : 

Si l'art de la danse plaît tant à nos compatriotes, c'est sûrement parce que la danse est ancrée en nous ! ... Mon grain de sel ...Je confirme je dirais même que la danse est innée ! Je sais pas toi, mais mes enfants BB lorsque que je mettais de la Zic ils se trémoussaient !! ...

 

 

L'existence de  la danse remonte même à la préhistoire ; on retrouve, dans certaines grottes européennes, africaines ou asiatiques, des dessins représentant les premiers hommes en train de pratiquer cet art : L'un des exemples les plus connus est celui du Sorcier Dansant se trouvant dans le département français de l'Ariège, eu sein de la grotte des Trois Frères.

" Sorcier Dansant "

Grâce au travail minutieux des archéologues contemporains, on a pu également retrouver des tombes ornées de dessins de danseurs en Egypte et même des gravures similaires sur les roches de Bhimetka en Inde, ces pierres ayant plus de 30 000 ans !

" Scène de danse de l'ancienne Egypte "

" Scène de danse, tombe ancienne Egypte "

Ces gravures sont particulièrement précieuses pour les historiens de l'art : En effet, la danse étant composée de mouvement abstraits, il est complexe de dater son origine avec précision.

La danse est d'ailleurs considérée comme essentielle à l'évolution de la civilisation ...

Puisque les premiers hommes ne possédaient pas encore de langages, c'était le mouvement du corps qui entrait en action pour pouvoir communiquer : La danse avait une dimension spirituelle, ils l'utilisaient notamment pour conjurer le sort (danse de la pluie) ou se donner du courage (danse de la guerre ou de  la chasse) : Les tribus pouvaient ainsi se reconnaître et se lier d'affection : C'est vers l'an 4000 avant Jésus-Christ que commence à apparaître la technique de la danse, certains hommes commençaient alors à développer les danses religieuses en incorporant des mouvements tels que le grand écart, les danses en couple ou encore les tournoiements : Grâce à la symétrie des danseurs et aux nouveaux enchaînements chorégraphiques, la danse commença à devenir gracieuse et harmonieuse : L'art de la danse n'est donc pas à sous-estimer, il s'agit en fait de l'un des arts les plus anciens, sans lequel nos ancêtres auraient eu bien du mal à communiquer !

@potins-de-luna
Danse à la Préhistoire

 

 

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2023-04-01T22:50:00+02:00

Mon P'tit Journal

Publié par luna

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En raison de mes ennuis de BOX & de l'actualité (1er avril) je le publie aujourd'hui 😉

Le Poisson d'avril, tout le monde le sait, n'est autre chose qu'une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire) que l'on tend à quelque personne amie, parente ou familière, le premier jour de ce mois d'avril: Donner un poisson d'avril à quelqu'un, c'est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle qu'on invente, l'envoyer au-devant de quelqu'un qui ne vient pas, en un mot, se divertir un peu à ses dépens et éprouver sa patience.

Une première origine est donnée par des ouvrages tels que l’Origine des proverbes, le Dictionnaire de Trévoux au mot Avril, ou encore le Spectateur anglais : l’expression poisson d’avril serait, selon ces sources, liée à la corruption de la passion de Jésus-Christ qui arriva le 3 avril : Jésus étant renvoyé d’un tribunal à l’autre, et contraint de faire diverses courses par manière d’insulte et de dérision, on aurait pris de là la froide coutume de faire courir et de renvoyer, d’un endroit à l’autre, ceux dont on voulait se moquer.

 

En effet, dans les premiers temps du christianisme, le clergé, afin de graver plus puissamment dans l’esprit des populations le sentiment et le souvenir des mystères de la religion catholique, eut recours à des représentations scéniques. Lors des grandes fêtes de l’année, le peuple venait écouter pieusement ces pièces religieuses, qui n’étaient pour lui qu’un commentaire vivant de l’évangile du jour. Rien de profane ne se mêlait alors à ces jeux, et ce ne fut que plus tard, au XIIIe siècle, que des éléments de cette nature vinrent s’ajouter à ces cérémonies religieuses et en modifier à la longue le caractère sacré. Dans les premiers jours d’avril avaient lieu ces représentations de la Passion, et l’assistance écoutant avec terreur, voyait le Christ, raillé et renvoyé de Caïphe à Pilate et de Pilate à Caïphe. Plus tard, l’habitude rendit la terreur moins grande, et quelques railleurs impies, en revenant le soir de l’église, s’amusèrent à répéter la scène du matin aux dépens de leurs amis ou de leurs voisins. De là, l’origine avancée de ce jeu du premier avril, et le nom de passion passant de bouche en bouche et n’étant plus guère compris, devenant le mot poisson.

Une deuxième origine fut proposée : le mois d’avril étant peu favorable à la pêche, plus d’un gourmand se serait vu, à cette époque, privé d’un plat délicat sur lequel son palais avait compté. Mais cette explication, pour suffisante qu’elle soit à justifier l’expression Manger du poisson d'avril, semble n'avoir aucun rapport avec les d’avril semble n’avoir aucun rapport avec les facéties du 1er avril.

On donne également une troisième origine, beaucoup plus récente, de cette expression : un prince de Lorraine que Louis XIII faisait garder à vue dans le château de Nancy, aurait trompé ses gardes et se serait sauvé en traversant la rivière de Meurthe, le premier jour d’avril. Certes le duc Nicolas François, frère de Charles IV, duc de Lorraine, quitta son évêché de Toul et le chapeau de cardinal par politique d’État, avant d’épouser à Lunéville, au mois de mars 1635, la princesse Claude, sa cousine germaine, fille de Henri II. Puis, s’étant retiré à Nancy et ayant eu vent qu’on voulait le conduire à la cour de France, il trompa ses gardes : Mais en réalité, le prince ne passa point la rivière de Meurthe à la nage, et sortit par une des portes de la ville, déguisé en paysan, portant une hotte pleine de fumier, de même que la princesse. Il aurait simplement délibérément choisi la date du 1er avril pour s’échapper et tromper les Français. Une jeune paysanne des environs de Nancy, qui fournissait journellement du laitage à la cour, reconnut la princesse malgré son déguisement et, l’ayant dit à quelques soldats de la garde, ceux-ci se figurèrent que cette fille voulait leur donner à tous le poisson d’avril, en les faisant courir mal à propos ; ce qui donna au prince et à la princesse le temps de gagner leurs chevaux pour se réfugier à Bruxelles, auprès du cardinal Infant. Cette évasion fit dire au peuple que le roi avait donné à garder un poisson d’avril, mais l’usage était connu au XIVe siècle, à en juger par les manuscrits du pasteur Paul Ferry relatifs à l’histoire de Metz et dans lesquels il cite déjà l’expression...

Une quatrième opinion fait remonter l’origine de la coutume au changement opéré sous Charles IX, quand l’année, qui jusqu’alors avait commencé le jour de Pâques, dut s’ouvrir le 1er janvier. Les étrennes du premier de l’an furent donc offertes trois mois plus tôt, et il ne resta dès lors pour l’ancien premier jour de l’an que des félicitations pures et simples, auxquelles les mauvais plaisants ajoutèrent des cadeaux ridicules ou des messages trompeurs.

Un des plus curieux poissons d’avril dont le bon vieux temps nous ait légué le souvenir, se déroula en 1686 et mit en scène un abbé de Caen, Michel de Saint-Martin, né à Saint-Lô en 1614, original toujours crédule au dernier point, bonhomme par-dessus tout. Ce personnage était, pour les sociétés de la ville, un divertissement que les habiles faisaient alterner avec la lecture de la Gazette de France ou du Mercure Galant. Notez que le digne ecclésiastique sacrifiait aux muses, et se proclamait un dévoué serviteur des sciences et des lettres ; mais ses ouvrages étaient à la hauteur de ses idées et de sa conduite. Il publia, entre autres, un livre bizarre, singulier, absurde, intitulé : le Moyen de vivre en santé au delà de cent ans. Or, il était difficile après cela de ne pas jouer quelque bon tour à l’auteur : les nouvelles de la cour en fournirent bientôt l’occasion.

Les gazettes étaient remplies de détails circonstanciés sur l’arrivée en France et sur la réception prochaine, à Versailles, des ambassadeurs du Royaume de Siam (ancien nom de la Thaïlande), accompagnés du premier ambassadeur français qui y avait été dépêché l’année précédente par Louis XIV, Alexandre de Chaumont. Les sociétés de Caen s’entretinrent longtemps de cet événement, qui faisait grand bruit. Notre bon abbé n’étant pas des derniers à s’enquérir des histoires merveilleuses racontées à ce sujet, il ne parla plus, ne pensa plus et ne rêva plus qu’aux ambassadeurs siamois, avant qu’une idée des plus folles ne traversât la cervelle de quelques gens du bel air, certains de trouver appui dans toute la ville, plus certains encore d’avoir un auxiliaire puissant dans la crédulité de leur victime. Le premier avril arrivait dans quelques jours. On annonça à M. l’abbé de Saint-Martin que Sa Majesté le roi de Siam, après s’être fait lire son admirable livre, avait été si charmée de l’incomparable découverte que ce livre renfermait, qu’elle avait résolu d’envoyer à l’auteur des ambassadeurs pour lui offrir le rang de mandarin et le titre de son premier médecin : Toute la ville s’en mêla : les gens les plus graves y prêtèrent volontiers les mains, les sévères magistrats tout comme les autres. Tout fut prévu ; il y eut autorisation du roi de France pour conférer à l’abbé les hautes dignités de mandarin et d’Esculape. La mascarade fut complète. Le bonhomme dut se croire mandarin, en toute sécurité, et ce fut grand plaisir de le voir revêtu et chamarré des insignes de ses nouvelles fonctions. Mais le jour d’avril passé, l’abbé ne put croire à ce poisson d’un nouveau genre, et deux années s’écoulèrent avant qu’il voulût bien reconnaître qu’on s’était moqué de lui. En 1738, Charles-Gabriel Porée, écrivant sous le pseudonyme de Censorinus Philalethes, rassembla nombre d’anecdotes amusantes sur les extravagances de l’abbé de Saint-Martin, dans un ouvrage intitulé La Mandarinade, ou Histoire du mandarinat de l’abbé de Saint-Martin.

Une P'tite Lecture ?

Un poisson d'avril, c'est pas très sérieux, surtout quand çà joue à la corde à sauter et qu'un cheval voleur passe dans les environs... Eh oui, Boris Vian aimait aussi raconter des histoires aux enfants !!

 

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2023-03-31T23:00:00+02:00

La 28ème ...

Publié par luna

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Tu veux la recette du Cake 49.3/4 ?

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cake 49.3/4

Pour la 28ème Edition du ...

 

Née en 1953 à Toronto (Canada)

La photographe utilise sa piscine pour prendre des portraits sous-marins à couper le souffle qui ressemblent à des peintures ...

Connue pour son incroyable utilisation de l'eau pour explorer les émotions, le style de la photographe d'art Barbara Cole est incomparable : Depuis le début des années 80, la photographe canadienne a tracé sa propre voie dans le monde de la photographie et a utilisé l'appareil photo comme véhicule d'expression personnelle : Ses images sous-marines dramatiques, souvent prises dans sa propre piscine, ont une touche picturale intemporelle et semblent trompeuses : Attiré par la photographie analogique, Cole utilise la technique du collodion humide depuis neuf ans. Laissé vide par la nature ponctuelle de la photographie numérique, Cole apprécie la lenteur du processus de préparation dicté par le collodion humide. La technique lui permet également d’atteindre l’esthétique qu’elle recherche, celle qui reflète le message derrière la photographie. « Mon travail est souvent sur la mémoire et les émotions », a déclaré Cole à My Modern Met. « La prise de vue analogique m’aide à faire passer le message. Vous regardez l’œuvre et vous vous demandez ensuite : « Pourquoi cela ressemble-t-il comme ça ? »

Bien que de nombreux artistes aient utilisé l’eau comme élément symbolique dans leur travail, Cole est vraiment dévouée à son utilisation dans son art. Bien que son travail n’ait pas commencé sous l’eau, au cours des vingt dernières années, il est devenu un élément déterminant de sa photographie. « Je pense que parce que j’utilise l’eau comme métaphore de l’émotion depuis tant d’années, il est naturel que l’utilisation de ce médium soit devenue mon langage artistique naturel. » : Les modèles de Cole apparaissent en apesanteur dans une grande partie de son travail. Drapés dans du tissu, ils flottent dans l’eau avec des aperçus de leurs membres apparents à travers la brume gazeuse de la lentille de Cole. Tantôt métaphore pour surmonter l’adversité et tantôt moyen de montrer l’expérience humaine dans un monde souvent accablant, ces femmes expriment des vérités universelles

" Je commence à réaliser qu'une grande partie de mon travail est biographique et que le corps représente moi-même ou vous " révèle Cole. " Nous avons tous ressenti de la peur, de la perte, de l'insécurité, de l'espoir et du désespoir : Bien que je m'exprime si personnellement, je crois que ce que je sis résonne universellement. "

Sans formation formelle, Cole déclare : " Je suis devenu artiste simplement en prenant des photos, ma carrière dans la photographie est basée sur l'instinct, les essais et les erreurs. "

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2023-03-25T23:50:00+01:00

La 27ème !!

Publié par luna

 

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La 27ème Edition du ...

 

 

1875 Naissance de Cappiello à Livourne (Italie) : Son père est liquidateur maritime .1886à 1892 Premières peintures 1897 Printemps : Cappiello arrive à Paris où il vient voire son frère qui travaille à la bourse : Bref retour à Livourne pour la mort de son père : Juin : Retour à Paris où il s'installe définitivement. 1896 à 1905 Période des caricatures 1900 En novembre il signe son premier contrat avec l'imprimeur - éditeur P. Vercasson, qui marque le début de sa carrière d'affichiste. 1901 Mariage avec Suzanne Meyer, belle - soeur de Lucien Mühlfeld (critique littéraire) et de Paul Adam (écrivain) : Il aura 2 enfants :1914-1918 Rappelé par l'Italie pendant la guerre comme interprète au Service de l'information, il lui reste un peu de temps pour participer  à des journées caritatives en faveur  des blessés de guerre. 1919 Après l'armistice de 1918 il rejoint l'éditeur Devambez avec lequel il travaillera jusqu'en 1936. 1921 Il est promu officier de la Légion d'Honneur. 1928 Commandeur de la Légion d'Honneur. 1930 Il prend la nationalité française. 1941 Malade il se retire chez sa belle - soeur, Mme Lucien Mühfeld. 1942 Mort de Cappiello à Cannes.

 

 

1905

1920

1907

1925

1910

1922

1929

1910

1900

 

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2023-03-18T10:59:29+01:00

Présentation ...

Publié par luna

 

Chez Moi ...

Artiste de la 26ème Edition du ...

 Artiste touche-à-tout, engagée et talentueuse ...

Tu galères à t’occuper le week-end de manière agréable, intelligente, récréative et fifolle parce qu’il caille sa grand-mère et que tu frissonnes au moindre orteil sorti hors de ta couette ? Tu veux passer un bon moment, pouvoir te la péter auprès de tes potes et cultiver tes neurones le tout bien au chaud pépère son grand père ? J’ai la solution… va donc au musée ! Je sais, dit comme ça on dirait ta prof de français de cinquième, cheveux fous, lunettes de travers et pantalon en velours côtelé, mais aie confiance, crois en moi : je vais te guider tout au long de ce mois de décembre dans ta quête de l’épiphanie culturelle (pas celle des crêpes, je ne sais pas les faire) (oui, c’est trop facile, je sais mais les miennes sont du ciment grumeleux indigeste, voilà). Plutôt que te conseiller des musées à visiter, ce qui risque de vraiment trop te rappeler tes sorties scolaires, je vais te proposer une sélection d’expos à voir en cette fin d’année riche en évènements culturels divers et variés.

L'exposition que je vais te présenter ici, est la rétrospective Niki de Saint Phalle au Grand Palais.... (dommage.. j'l'ai ratée !) et si tu ne l’as pas déjà vue, COURS FORREST !

Niki de Saint Phalle, artiste féministe… mais pas seulement...

Bon, on ne va pas se mentir : tout•e artiste dont le nom est associé de près ou de loin au féminisme semble faire peur, genre le grand méchant loup va croquer le chaperon rouge, sa mère-grand et les trois petits cochons. Féministe, Niki de Saint Phalle l’était, et pas qu’à moitié ! Le grand public connaît d’elle ses gargantuesques nanas dansantes, effrayantes, libres et bigarrées. Pourtant, l’œuvre de Niki de Saint Phalle ne se résume pas qu’au féminisme, son sujet de prédilection — elle traite par la sculpture, l’architecture, la peinture, le collage, la réalisation de films tout un ensemble de sujet qui nous touchent encore aujourd’hui

Le pari de l'exposition était de faire découvrir au très grand public un large choix des  oeuvres de l'artiste, sans compromis, et personnellement, j'ai pris une jolie claque droit dans la face : Parce que Niki est une touche-à-tout, qui vécut par et pour son art envers et contre tout. Elle interpelle directement son public sans faux-semblants ni complaisance. Elle a rapidement acquis le statut d’artiste scandaleuse et torturée, car son travail fortement médiatisé a interrogé son temps sur des questions aussi vastes que la situation des femmes, la politique, la guerre, la religion, le SIDA, la mort.

Une exposition qui sublime l’artiste et son œuvre de façon complémentaire

Si son visage magnétique et angélique est omniprésent, l’artiste n’éclipse pas l’œuvre, bien au contraire ; c’est à mon humble avis la force de l’expo qui introduit ce personnage charismatique sans qu’il ne fasse de l’ombre à ses travaux : C’est un des écueils dans lesquels les expositions type rétrospectives tendent à tomber car elles donnent un effet biographique un peu plat en présentant les œuvres sur un mode illustratif. Au Grand Palais, la collection est suffisamment riche pour que l’œuvre de l’artiste soit bien couverte et pas trop chargée pour ne pas embrouiller l’esprit. Chaque sculpture, collage ou peinture fait sens et parle à son public : Car l’autre force de l’exposition, c’est qu’elle trouve un public extrêmement large. Elle est accessible à différents niveaux sans que le contenu et les explications n’y perdent en qualité. J’y ai vu des octogénaires et une classe de maternelle en rang d’oignons, les yeux brillants, face à une tête de mort à facettes !

En gros, Niki de Saint Phalle était une nana qui dépote, une avant-gardiste qui tirait à vue sur les maux du monde avec sa carabine. Son engagement était radical et son art l’exprime avec force ; cette rétrospective l’affranchit d’une réputation d’enragée castratrice et folle et dresse le portrait d’une femme tout en nuance et subtilité : En plus, tu y verras un joli phallus encapoté à coeurs et facettes ! Si tu en as l'occasion, file découvrir Niki de Saint Phalle et sa tête d'ange, son féminisme, ses obsessions schizophrènes et ses punchlines du genre :

« J’ai eu la chance de rencontrer l’art parce que j’avais, sur le plan psychique, tout ce qu’il faut pour devenir une terroriste. Au lieu de cela, j’ai utilisé le fusil pour une bonne cause, celle de l’art. »

Niki de Saint Phalle

 

La 26ème Edition ..

 

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2023-03-16T23:45:00+01:00

Cool ! ... C jeudi !!

Publié par luna

 

 

 

 

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2023-03-11T14:09:31+01:00

La 25ème !!

Publié par luna

Pour la 25ème Edition du ...

... Comme Promis ...

Pablo Picasso est un artiste espagnol né à Malaga le 25 octobre 1881, mort le 8 avril 1973 à Mougins, enterré dans le parc du Château de Vauvenargues (Bouches du Rhône) : Il est surtout connu pour ses peintures, et est l’un des artistes majeurs du 20ème siècle. Il est, avec Georges Braque, le fondateur du mouvement cubiste. Pablo Picasso (1916) Son nom complet était Pablo Diego José Francisco de Paula Juan Nepomuceno Crispin Crispiniano de la Sentissima Trinidad Ruiz Picasso. Le père de Picasso, Don José Ruiz y Blanco, était peintre et professeur de dessin à l’école de Malaga appelée « San Telmo ». Il est également conservateur du musée municipal, issu d’une famille ancienne et appréciée de la province de Léon, dans le nord-ouest de l’Espagne, la mère de Picasso, Dona Maria, est originaire d’Andalousie et d’origine arabe : Picasso commence donc à peindre dès son plus jeune âge et réalise ses premières toiles à l’âge de huit ans. En 1896, il entre à l’École des Beaux-Arts de Barcelone. Signant d’abord du nom de son père, Ruiz Blanco, il a finalement choisi d’utiliser le nom de sa mère, Picasso, à partir de 1901.

 

" Le Rêve "

Peinture à l'huile de 1932; alors âgé de 50 ans, il représente sa maîtresse de 24 ans, Marie Thérèse Walter : On dit qu'il a été peint en un après-midi.

"Guernica" (1937)

Probablement l’œuvre la plus célèbre de Picasso, Guernica est certainement sa déclaration politique la plus puissante, peinte comme une réaction immédiate aux bombardements occasionnels dévastateurs des nazis sur la ville basque de Guernica pendant la guerre civile espagnole.

"Dora Maar au Chat"(1941)

Dora Maar au Chat présente la maîtresse la plus mystérieuse et la plus provocante de l’artiste posée royalement de trois quarts de long dans une grande chaise en bois avec un petit chat noir perché derrière elle dans une attitude à la fois amusante et menaçante. 

​​​​​

"Jacqueline with Flowers" (1954)

Jacqueline aux fleurs, célèbre l’entrée de la nouvelle compagne de Picasso, Jacqueline Roque, dans sa peinture. Antonina Vallentin appelle la figure un « sphinx moderne », et il est vrai que dans cette position accroupie, avec son long cou et ses yeux en amande, Jacqueline a quelque chose de mythique. 

" Figures at the Seaside" (1931)

Une série de scènes de plage érotiques bizarres, dont Le baiser , a été peinte à l’été de 1931 à la résidence de vacances de Picasso sur la Côte d’Azur, Juan-les-Pins. Dit inspiré par la liaison du peintre de 50 ans avec le modèle de 19 ans, Marie-Thérèse Walter, le caractère grotesque des formes représentées réduit ce moment de contact intime à un niveau de crudité, probablement plus représentatif de sa relation qui se détériore avec sa femme, Olga.

"Les Demoiselles d’Avignon" (1907)

Les Demoiselles d’Avignon marquent une rupture radicale avec la composition et la perspective traditionnelles en peinture. Il représente cinq femmes nues composées d’avions plats et éclatés dont les visages sont inspirés de la sculpture ibérique et des masques africains. 

"The Old Guitarist" (1903)

Cet homme courbé et aveugle tient près de lui une grosse guitare ronde. Son corps brun représente le seul changement de couleur du tableau. A la fois physiquement et symboliquement, l’instrument remplit l’espace autour du personnage solitaire, qui semble inconscient de sa cécité et de sa pauvreté lorsqu’il joue. 

"Minotaur With Dead Horse In Front Of A Cave Facing A Girl In Veil" (1936)

Dans Minotaure avec jument morte devant une grotte, 1936, Picasso a représenté le minatour sortant d’une grotte, portant le corps d’un cheval mort. Il faisait ici clairement allusion au concours à mort qui caractérise les corridas. Mais en même temps, il a réuni la violence de la lutte avec la tendresse avec laquelle le vainqueur porte le corps de sa victime.

"Garçon à la Pipe (Boy with a Pipe)" (1905)

Pablo était un jeune artiste en herbe à l’époque de cette peinture – environ 24 ans. Il est considéré comme l’une des œuvres les plus importantes du début de sa carrière et montre comment les premiers Picasso sont passés aux styles contemporains après avoir d’abord étudié les techniques de l’art classique.

 

"The Women of Algiers" (1955)

La série de Picasso Les femmes d’Alger a été lancée moins d’un mois après le soulèvement nationaliste en Algérie en 1954 qui a conduit à la guerre d’indépendance algérienne de huit ans.

 

 

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2023-03-05T11:13:21+01:00

çà ... C'était Avant !!

Publié par luna

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@Potins-de-Luna
Tableau du Samedi

D'où vient la fête des grands-mères ?

Tu connais sûrement Grand’mère, la célèbre marque de café ? Et bien, c’est elle qui a inventé la fête des grands-mères en 1987, tout simplement. Et son objectif, on s'en doute, n’était autre que commercial / Comme toute marque, Grand’mère, née en 1954 et dont le propriétaire est aujourd’hui Jacob Douwe Egberts, souhaitait faire parler d’elle pour bien sûr booster ses ventes. Les biscuits Bonne-maman se sont ensuite inspirés de cette idée et c’est ainsi que petit-à-petit, la fête des grands-mères s’est imposée comme telle dans l’esprit des Français. Depuis, cette fête figure dans le calendrier au même titre que celle des mères ou des pères : Chaque année en France, elle a lieu le premier dimanche du mois de mars. Mais il faut tout de même savoir que c’est une fête officieuse puisqu’elle n’est pas reconnue par le code de l’action sociale et des familles (qui regroupe l'ensemble des dispositions législatives et réglementaires concernant la famille). 

Pourquoi faire la fête des grands-mères ?

Mais nous n’avons pas besoin d’un jour spécial pour dire à Mamie combien on l’aime ! Sais-tu qu’un concours de Super Mamie existe ? Chaque année depuis 1996, des sélections locales sont organisées en France afin de désigner la Super Mamie de l’année lors d’une élection finale. Lors de ce concours, les enfants et petits-enfants présentent leurs mamies aux yeux de tous : Les grands-mères sont aussi là pour transmettre la mémoire familiale et elles peuvent être un véritable soutien pour leurs filles notamment, lorsqu'elles deviennent elles-mêmes mamans… Aujourd’hui, la fête des grands-mères est totalement intégrée dans les mœurs. Tout autant pour les personnes que pour les magasins qui s’inspirent de cette fête pour proposer aux clients des produits spéciaux à offrir aux Mamies : En tous les cas, la fête des grands-mères reste une bonne occasion de se retrouver et de passer un bon moment en famille.

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