Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

17eme siecle

2023-05-20T22:22:00+02:00

La 35ème !!

Publié par luna

Ici...

Pour la 35ème Edition du ...

1593-1652 : Il est né en 1593 à Vic-sur-Seille, très de Metz; en Lorraine, dans une famille de boulanger : Sa période de formation est très mal connue car il n’existe que très peu de documents le concernant. Les jeunes peintres de l’époque souhaitaient tous aller à Rome et partaient parfois en groupe vers la capitale italienne. Certains historiens supposent que de La Tour a fait le voyage de cette manière. Il aurait pu alors voir les œuvres du réalisme baroque de Caravage dont les clair-obscur inspireront ses tableaux. Selon d’autres historiens, il n’a jamais été à Rome et son caravagisme proviendrait des hollandais Gerrit van Honthorst (1590-1656) et Hendrick Terbrugghen (1588-1629) appartenant à l’école caravagesque d’Utrecht : En 1617, il épouse Diane Le Nerf, originaire de Lunéville ; le couple s’installe dans cette ville. Il va rapidement conquérir une célébrité locale et les commandes de tableaux de la bourgeoisie et de la noblesse lorraine vont affluer : sujets religieux et scènes de genre représentant en particulier des musiciens ou des mendiants. La prospérité de la famille ne tarde pas : elle devient l’une des plus riches de Lunéville et, dès 1620, le peintre est reçu « bourgeois de Lunéville ». De La Tour a cependant acquis une réputation de pingrerie attestée par des plaintes de son personnel de maison indiquant qu’on mange fort mal chez lui : Il fera un séjour à Paris, mais quasiment contraint et forcé. La guerre de Trente ans (1618-1648) qui déchire l’Europe va provoquer un grave incendie à Lunéville, en septembre 1638, qui détruit la maison du peintre. La famille se réfugie d’abord à Nancy, puis à Paris où de La Tour est logé au Louvre et devient « peintre ordinaire du Roy ». Ce titre, que revendiquait de La Tour, ne semble cependant pas être attesté par un quelconque document. Dès 1641, sa maison est reconstruite et la famille regagne Lunéville. Le succès se maintiendra jusqu’à la mort du peintre en 1652, causée par une épidémie qui tuera huit personnes dans sa maison (dont sa femme) et plus de huit mille à Lunéville, le couple laissait trois enfants

Georges de La Tour sera complètement oublié après sa mort, le fait qu'in n-ait signé que très peu de ses oeuvres a sans doute facilité cet oubli : C’est l’historien d’art allemand Hermann Voss (1884-1969) qui redécouvre le peintre en 1915, il lui attribue deux toiles du musée des Beaux-arts de Nantes : Dès lors, d’autres historiens et collectionneurs s’intéressent à de La Tour et, en 1934, une exposition au musée de l’Orangerie à Paris présente treize œuvres de l’artiste oublié, bien d’autres découvertes suivront : On lui attribue aujourd’hui avec certitude une trentaine d’œuvres.

" Diogène " (vers 1615-20)

" Saint Jacques le mineur " (vers 1620)

" Le nouveau-né " (1645-48)

 

" La diseuse de bonne aventure " (1633-39)

" Rixe de musiciens " (1625-30)

" Le tricheur à l'as de carreau " (vers 1635)

" Femme à la puce "(vers 1630)

" Madeleine à la veilleuse " (1642-44)

" Le rêve de Saint Joseph " (vers 1640)

" Les mangeurs de pois "(vers 1620)

 

 

@gossip-girl.over-blog.com
FB

 

Voir les commentaires

Girl Gift Template by Ipietoon - Hébergé par Overblog